« L’immobilisme est en marche et rien ne l’arrêtera « . Souvent attribué à Edgar Faure, ce propos sied à merveille à la valse hésitation à laquelle nous avons assisté la semaine dernière autour de la mise à jour de l’assiette de la taxe foncière sur les propriétés bâties. Un acte technique de la vie administrative qui s’est transformé en quelques heures, à coups de superficialité médiatique et de politicailleries en tous genres, en sujet au centre de toutes les préoccupations, au point qu’une seule issue s’imposait, celle, impérieuse et solennelle, de son report au printemps prochain, après les élections municipales, bien sûr, et dans le cadre d’une approche locale, autrement dit, dans le contexte actuel, vraisemblablement aux calendes grecques…
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