À quelques mois des élections municipales de 2026, la sécurité s’impose comme un thème incontournable du débat public. Pour apporter un regard objectif sur ces enjeux, Orasio, start-up européenne spécialisée dans l’intelligence artificielle appliquée à la vidéo, a conduit une étude inédite avec l’Institut Quorum, spécialiste des enquêtes d’opinion : un double sondage représentatif mené auprès de 3 000 Français et 200 maires de communes de plus de 20 000 habitants, pour interroger leurs attentes et leurs perceptions de la vidéoprotection et de l’intelligence artificielle.
Citoyens et élus partagent une même vision de la sécurité
Les résultats révèlent un consensus inédit, qui dépasse les clivages politiques : 90% des Français soutiennent la vidéoprotection, 87% des maires souhaitent augmenter leur parc de caméras.
Deux tiers des Français et près de 95% des élus se disent favorables à l’introduction de l’IA dans la sécurité publique, à condition qu’elle soit utilisée avec discernement, dans un cadre clair et respectueux des libertés individuelles.
Les Français ne rejettent pas la technologie : ils y adhèrent à certaines conditions. Ils identifient clairement les domaines dans lesquels le recours à l’IA est jugé le plus légitime : lutte contre le terrorisme (56%), arrestation des auteurs de crimes et délits (56%), détection d’incendies (52%).
L’utilisation de la reconnaissance faciale est aussi largement admise dans des situations graves comme les alertes enlèvement (66%) ou la recherche de personnes disparues (64%).
L’étude traduit par ailleurs une attente forte des citoyens : 72% des Français demandent un encadrement légal strict de ces technologies.
Cette exigence exprime le souci des Français de concilier efficacité technologique et valeurs démocratiques.
Des maires favorables et qui sous-estiment l’adhésion des citoyens
Les maires, eux, se montrent pragmatiques. Ils privilégient l’IA pour des usages concrets : lutte contre les dépôts sauvages d’ordures (94%), protection des bâtiments publics (84%), prévention des intrusions, détection des départs de feu (79%). Leurs critères de choix des entreprises dans le domaine sont simples : la fiabilité, le coût et la simplicité d’utilisation arrivent en tête. Et contrairement à une idée répandue, l’étude révèle que plus d’un élu sur deux en France surestime les réticences des habitants : les Français sont en réalité plus ouverts à ces technologies que ce qu’imaginent les élus.
La sécurité publique et l’usage de l’IA en vidéoprotection s’imposent comme des questions importantes pour les échéances municipales de 2026. 72% des Français et près de 88% des élus estiment que le thème devra être démocratiquement débattu.
Les données de l’étude permettent par ailleurs une lecture détaillée région par région, illustrant un consensus fort mais différents niveaux d’adhésion à l’usage de l’IA dans la vidéoprotection. Les régions Provence-Alpes-Côte d’Azur et Auvergne-Rhône-Alpes sont notamment celles qui y sont le plus favorables.
Et cette tendance dépasse les frontières : les cinq autres pays européens (Allemagne, Pays-Bas, Italie, Espagne, Pologne) étudiés par l’Institut Quorum présentent la même dynamique d’adhésion majoritaire à l’IA, dès lors qu’elle s’inscrit dans un cadre encadré et souverain.
Entre innovation et responsabilité : le nouveau rôle des collectivités territoriales
La vidéo-intelligence doit désormais conjuguer exigence technique, sécurité juridique et acceptabilité démocratique.
Les solutions développées en Europe, conformes dès leur conception aux exigences du RGPD et de l’AI Act, démontrent qu’il est possible d’allier performance et responsabilité.
Elles offrent aux collectivités des outils fiables et efficaces, qui garantissent la traçabilité des données.
La technologie ne remplace pas la décision humaine : elle l’assiste.
Aux élus revient la responsabilité de fixer le cadre, aux entreprises celle d’apporter des solutions conformes aux attentes des pouvoirs publics.
Alors que près de 95% des informations pertinentes échappent aujourd’hui aux opérateurs de vidéoprotection, l’IA peut être une aide précieuse dans la réaction et la prise de décision des acteurs de la sécurité publique.
Les résultats de l’étude de l’Institut Quorum confirment une attente claire : citoyens et élus souhaitent des solutions de vidéo-intelligence efficaces mais proportionnées, conformes aux valeurs démocratiques européennes. C’est la mission d’Orasio de développer une vidéo-intelligence performante, souveraine et responsable, conçue en Europe et conforme à nos valeurs.
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Contenu proposé par Orasio









