Vous avez dévoilé, le 17 juin, la carte de la nouvelle géographie prioritaire faisant passer de 2 500 à 1 300 le nombre de quartiers qui bénéficieront du financement de la politique de la ville. Les associations d’élus ont globalement exprimé leur satisfaction mais se disent vigilantes. Que leur répondez-vous ?
Les parlementaires et les élus locaux ont compris la nécessité de rendre la politique de la ville plus lisible et plus juste. Pour élaborer cette nouvelle géographie prioritaire, nous nous sommes appuyés sur un seul critère : le revenu des habitants. Ce critère nous a non seulement permis d’identifier les territoires les plus en difficulté mais également d’en faire apparaître d’autres qui connaissent une pauvreté invisible. C’est la raison pour laquelle, aux côtés des grands ensembles propres des grandes agglomérations, la carte recense des villes moyennes, des centres anciens et des communes périurbaines. Et colle ainsi au plus près des ...
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