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[Entretien] Tranquillité publique

« Il faut des moyens et du personnel pour travailler avec les publics marginaux »

Publié le 14/03/2025 • Par Pierre Garcia • dans : A la Une prévention-sécurité, Actu experts prévention sécurité, Dossiers d'actualité, Dossiers prévention-sécurité, France, Toute l'actu Santé Social

Antoine Pelissolo
A. P.
Chef du service de psychiatrie à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil (Val-de-Marne), Antoine Pelissolo est aussi premier adjoint au maire (PS) de la commune. Il fait le lien entre les fragilités de la psychiatrie et la difficulté à traiter les publics souffrant de troubles mentaux.

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Comment gérer les troubles mentaux dans les rues

L’attitude de certaines personnes sur la voie publique inquiète la population. Quel est votre regard de praticien ?

Comme tous les citoyens, les personnels soignants observent une hausse du nombre de personnes souffrant de pathologies mentales. Il existe notamment un enjeu croissant lié aux individus ayant vécu des parcours migratoires difficiles, qui sont plus sujets à la pauvreté, aux souffrances psychiques et à des diffi­cultés d’accès au soin ou au logement.

Vivre dans la rue constitue un facteur aggravant pour les troubles mentaux. Cela engendre du stress, des difficultés de sommeil et d’alimentation et un manque de perspectives. Des pathologies préexistantes peuvent aussi s’aggraver avec l’apparition d’addictions à l’alcool ou aux drogues, favorisant les conduites à risque, les ...

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