Emmanuel Macron l’avait dit en conseil des ministres aux lendemains des violences urbaines consécutives à la mort du jeune Nahel à Nanterre (Hauts-de-Seine), tué le 27 juin par le tir d’un policier. Pas question pour lui de se précipiter et de multiplier les annonces à chaud. Le président de la République entendait prendre le temps de la réflexion et ainsi apporter une « réponse complète et profonde » aux émeutes.
La ligne directrice avait toutefois été tracée lors d’un déplacement à Nouméa fin juillet au cours duquel il avait exprimé sa volonté d’un « retour de l’autorité, à chaque niveau, et d’abord dans la famille ». Jeudi 26 octobre, c’est donc cette feuille de route, « cette promesse présidentielle de Nouméa » selon les mots de l’Elysée, que la première ministre Elisabeth Borne a ...
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