GPO ? Derrière cet acronyme se cachent les groupes de partenariat opérationnel. Le ministère de l’Intérieur les qualifie de « briques opérationnelles » du partenariat. Déployés depuis le début 2019 dans le cadre de la police de sécurité du quotidien (PSQ), ils sont pilotés par la police nationale.
Leur vocation est de réunir les polices nationale et municipale, les bailleurs, les transporteurs, l’Education nationale et les associations, notamment, autour d’un problème de sécurité que connaît un quartier ou une rue, comme les occupations de halls d’immeuble, les rodéos urbains, les dégradations… « La philosophie qui prévaut aujourd’hui est : “La sécurité est l’affaire de tous”, rappelle Sonia Fibleuil, porte-parole de la police nationale. Les GPO en sont la concrétisation. Il ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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Le "continuum de sécurité" à l'épreuve du terrain
Sommaire du dossier
- Frédéric Péchenard, ex-DGPN : « Les polices municipales appartiennent à la grande famille de la sécurité »
- Richard Lizurey, ex-DGGN : « La police municipale doit rester une police de proximité »
- Coopération policière : quel bilan tirer des groupes de partenariat opérationnel ?
- La coopération policière à l’épreuve du terrain
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