La vie nocturne a-t-elle évolué avec la pandémie de la Covid 19 ?
La nuit a changé. La crise a eu un impact sur les pratiques et les usages de la nuit, et notamment les usages festifs. On a assisté à une sur occupation de l’espace public, du fait de la fermeture des établissements privés, et parce que, finalement, c’est l’extérieur qui est apparu le plus sûr, contrairement à la période post attentat 2015 où c’était l’intérieur. On a aussi constaté des reports de vie nocturne dans les espaces privées, avec des problématiques de nuisances sonores mais aussi de prévention aux addictions. Quand la fête se passe dans des bars, des discothèques, il y a une régulation des usages. Dans les espaces privés, il y a moins de prévention et moins de visibilité. Par ailleurs, une partie de la jeunesse a ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours
J’en profiteCet article est en relation avec le dossier
Cet article fait partie du Dossier
Vie nocturne : quel rôle pour le service public ?
Sommaire du dossier
- « La crise a mis en exergue le manque de services publics la nuit »
- « La nuit, c’est concilier droit à la fête et droit à la tranquillité »
- La nuit, les policiers municipaux et les médiateurs veillent
- Les solutions pour que la vie nocturne reste une fête
- Vie nocturne : un guide méthodologique pour penser une politique globale
- Vie nocturne : nuits blanches pour les politiques publiques
- Le Hangover café, un minibus qui sillonne la ville pour prévenir les excès de la nuit
Thèmes abordés