Plus de vingt-cinq ans après l’arrivée de la vidéosurveillance dans les espaces publics, les collectivités commencent à avoir des expériences significatives en termes d’organisation de leurs centres de supervision urbains (CSU), ces structures qui affichent en direct sur un mur d’images ce qu’observent les caméras. Au cours d’une conférence de l’Association nationale de la vidéoprotection (AN2V), organisée en décembre sur la gestion humaine des CSU, plusieurs responsables ont expliqué comment ils s’organisent et les défis – organisationnels, techniques ou de ressources humaines – auxquels ils font face.
Exemple avec le centre de supervision urbain de Nîmes Métropole, créé en 2003 et mutualisé entre différentes communes dix ans plus tard. Il regroupe désormais 22 opérateurs qui ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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