Les débats puis l’adoption, en août 2019, de la loi de transformation de la fonction publique n’avaient pas mobilisé les agents, dans aucune des fonctions publiques. Pourtant, certains de leurs syndicats s’étaient fermement opposés à différentes mesures, comme l’obligation de fixer le temps de travail à 1607 heures, l’élargissement du recours aux contractuels, ou encore la faculté d’encadrer le droit de grève. La pandémie et ses conséquences sur les conditions de travail des agents avaient ensuite pris le pas sur toute autre considération.
Mais la perspective d’une sortie de crise, et l’entrée en vigueur de certaines mesures de la loi TFP, réveillent les oppositions, dans les collectivités, relayées ce 21 avril par un communiqué d’une intersyndicale de la fonction publique territoriale.
Trois mesures contestées
Dans leur communiqué, la CGT-fédération des services publics, la FA-FPT, SNU-Ter (FSU territoriale) et Sud solidaire (Sud-CT) demandent ni
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Gazette des Communes
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