Un contexte différent
Pour les Ă©lections europĂ©ennes de mai 2019, la France n’est plus sous le rĂ©gime de l’état d’urgence. En outre, mĂŞme si des individus sont rĂ©gulièrement arrĂŞtĂ©s car en lien avec des projets d’attentats, il n’est plus prĂ©vu un dĂ©ploiement de forces de l’ordre aussi important qu’en 2017 – pour rappel 50 000 agents des forces de l’ordre Ă©tatiques Ă©taient dĂ©ployĂ©es pour sĂ©curiser les 70 000 bureaux de vote.
Les communes n’ont ainsi pas été destinataires, comme en 2017, d’une circulaire ministérielle les incitant à prendre des dispositions de sécurisation des bureaux de vote. A l’époque, sur le terrain, les mesures avaient été très diverses :
- recours à des agents de sécurité privée pour filtrer les entrées des lieux où sont installés des bureaux de ...
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