« Une étape supplémentaire inacceptable et scandaleuse au fichage des personnes les plus vulnérables touchées par la maladie mentale dans notre pays, un amalgame indigne entre le champ sanitaire et celui de la prévention de la radicalisation. » Dans un communiqué commun, 23 associations de psychiatres et de patients réclament l’abrogation pure et simple du décret du ministère des Solidarités et de la Santé daté du 6 mai.
Il autorise le croisement de deux fichiers de données à caractère personnel : Hopsyweb, qui concerne les personnes subissant des soins psychiatriques sans consentement, et le Fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Cela permet ainsi aux préfets en région et au préfet de police de Paris d’être informés dès lors que ...
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