Dix mois après son élection, l’équipe municipale UMP-UDI marque une rupture avec la politique de sécurité menée par ses prédécesseurs socialistes. Symbole de ce virage à 180 degrés : la mairie a annoncé la fin du moratoire limitant à 48 le nombre de caméras de vidéosurveillance installées dans le centre-ville et sur certains axes de circulation.
«S’arrêter à un nombre précis de caméras était inepte. Leur implantation doit répondre aux besoins du terrain », justifie Clément Stengel, nouvel adjoint au maire chargé de la sécurité et de la tranquillité publique.
Pas d’influence préventive – Jusqu’en 2012, la Ville était considérée comme l’un des rares territoires déterminé à analyser le rapport coût / efficacité de son dispositif. «Le budget de fonctionnement pour 48 caméras avoisinait le million d’euros. Cela valait la peine de s’interroger sur l’attribution de ces moyens », affirme Emilie Thérouin, l’ex-élue écologiste chargée de la sécurité. Moyennant 15 000 euros, la Ville ...
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