Depuis 2010, Cagnes-sur-Mer (46 632 hab., Alpes-Maritimes) a affecté Rachel Brémond, une de ses agents, au contrôle de la taxe de séjour. Cette dernière, perçue par la commune et reversée entièrement à l’office de tourisme a vu son produit augmenter régulièrement : 126 000 euros en 2010, 150 000 en 2011, 180 000 en 2012 et 183 000 en 2013.
« Attention !, prévient Olga Sourenkova, responsable du service de gestion du domaine public, qui intègre en régie la collecte de la taxe de séjour, notre contrôle se fait avant tout par la pédagogie. »
En pratique, les hébergeurs professionnels (campings, hôtels, résidence hôtelières…) ne sont que peu contrôlés. « Depuis plusieurs années, ils se sont équipés de logiciels de réservation qui génèrent automatiquement des factures intégrant la taxe de séjour ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés