C’est ce que révèle le « Rapport du gouvernement relatif au FPIC » (en application de l’article 144 de la loi de finances pour 2012). Alors que 61 % de la population des groupements et des communes isolées de moins de 10 000 habitants sont bénéficiaires du FPIC, 48 % de la population de ce même groupe sont contributeurs en 2012.
A l’inverse, dans les territoires de plus de 200 000 habitants, ces taux s’élèvent respectivement 34 % et 56 %.
La redistribution des ressources bénéficie donc largement aux territoires ruraux. L’ampleur de ces transferts est toutefois mesurée.
Ainsi, les 10,1 millions d’euros de solde négatif au titre du FPIC des territoires de plus de 50 000 habitants représentent seulement 0,022 % de leur potentiel financier intercommunal agrégé (PFIA).
Certains ...
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