« A Lille, Lyon, Paris, l’inflation des droits de terrasse et voirie est sensible », affirme Jean-Pierre Chedal du Syndicat national des hôteliers restaurateurs cafetiers et traiteurs.
Mais en la matière, la disparité est la règle. A Nantes, c’est + 3 à 5 % par an depuis 2006 : « 3 cafés par jour, c’est le prix moyen modique que payent les exploitants de terrasses », tempère Gilles Nicolas, adjoint au maire à la tranquillité publique.
Chaque commune exerce sa liberté – Rappelons que l’occupation privative du domaine public est assujettie au paiement d’une redevance (art. L. 2 213-6 du code général des collectivités territoriales). Le prix au mètre carré de celle-ci est fixé dans chaque commune par arrêté municipal.
Les petites communes ne distinguent souvent pas de types de ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés