Grâce à un subtil saupoudrage, cette répartition a de quoi satisfaire un grand nombre de bénéficiaires, même si les régions les moins développées (PIB par habitant inférieur à 75 % du PIB moyen européen) semblent particulièrement bien dotées.
Leurs besoins étant plus divers, elles auront accès à un éventail plus large de priorités d’investissements, contrairement aux nouvelles régions en transition et aux plus développées qui devront se plier aux priorités fixées par la Commission européenne (80 % des fonds Feder dédiés au développement durable, à l’innovation et à l’aide aux PME).
Selon Franck Sottou, professeur associé au Conservatoire national des arts et métiers, les régions plus riches ne seront pas « lésées pour autant », car « il ne s’agit pas de prendre aux anciens ...
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés