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Les illuminations de Noël occupent chaque année une place centrale dans l'ambiance festive des villes. Ainsi, 10 % des consommations électriques pour l'éclairage public concerneraient ces illuminations. Mais depuis la crise énergétique de 2022, les collectivités sont guidées par la sobriété énergétique et un intérêt financier. Elles sont incitées à réinventer leurs pratiques tout en s'adaptant à la demande sociale et à la commande politique. Comment concilient-elles les fêtes de fin d'année tout en innovant pour réduire la facture énergétique ?
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Répondre à plusieurs enjeux
Bien qu’attractives et festives, les illuminations de Noël engendrent plusieurs enjeux allant de l’impact environnemental à la pression sociale ou culturelle. Tout d’abord, sur le plan environnemental, elles consomment beaucoup d’énergie surtout si elles sont nombreuses, anciennes ou peu optimisées (absences d’ampoules LED, temps d’allumage long). Cela entre en contradiction avec la sobriété énergétique et la lutte contre le changement climatique. De plus, l’éclairage excessif contribue à la pollution lumineuse, perturbant la faune nocturne, les écosystèmes, voire la santé humaine. D’autres aspects ...
