La Cnil en convient : en matière de dispositifs vidéos, le « cadre juridique » est complexe, rappelle l’autorité administrative indépendante dans son dernier rapport annuel, publié à la fin avril.
La tâche du gardien français des données personnelles ? S’assurer que le déploiement de ces dispositifs « se fasse dans le respect de la réglementation applicable ». Quitte à sortir le bâton, comme ces mises en demeure prononcées au début du mois de décembre à l’encontre de six communes enjointes à mettre fin aux manquements constatés « dans l’utilisation de caméras augmentées permettant l’analyse en temps réel du comportement des personnes filmées sur la voie publique ».
- Vidéosurveillance intelligente : la Cnil met en demeure six collectivités
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