« Les installations examinées (les 58 réacteurs existants et l’EPR en construction d’EDF ainsi qu’une vingtaine de sites du CEA, d’Areva et de l’Institut Laue-Langevin, ndlr) présentent un niveau suffisant pour ne justifier l’arrêt immédiat d’aucune d’elles. Mais la poursuite de leur exploitation nécessite d’augmenter leur marge de sûreté pour faire face à des situations extrêmes. ».
Le président de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), André-Claude Lacoste, a, mardi 3 janvier 2012 à Paris, présenté le rapport de plus de 500 pages né d’une double commande, en mars 2011, du gouvernement français et du Conseil européen.
Le fruit d’un processus lancé à la suite de l’accident de Fukushima, « une catastrophe majeure qui marque l’histoire du nucléaire dans le monde, comme, avant elle, Three Mile ...
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J’en profiteRéférences
- Evaluations complémentaires de sûreté, Rapport de l'Autorité de sûreté nucléaire, 3 janvier 2012
- Avis no2012-AV-0139 du 3 janvier 2012 sur les évaluations complémentaires de la sûreté des installations nucléaires prioritaires au regard de l’accident survenu à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi