Le projet de loi d’orientation et de programmation pour la sécurité intérieure, actuellement soumis à l’examen du Parlement, répond-il aux besoins des élus locaux ? Et quelle place pour le maire dans le paysage de la sécurité locale ?
A l’occasion des Etats-généraux de la sécurité locale, jeudi 20 octobre, trois maires, représentant les petites et les grands villes, ont réagi à ce « texte de moyens » – recrutement de 8500 policiers et gendarmes et création de 250 brigades de gendarmerie, qui prévoit de « mettre du bleu dans les rues ».
L’occasion également de revenir sur le déploiement des contrats de sécurité intégrée lancés à l’automne 2019, l’évolution des polices municipales et du partenariat local de sécurité mais aussi le débat sur la légalisation du cannabis.
Autour de la table, Estelle Bomberger-Rivot, maire de Nogent-sur-Seine (Aube), représentante de l’Association des petites villes de France, David Marti, maire du Creusot (Saône-et-Loire), représentant de France urbaine, et Alexandre Touzet, maire de Saint-Yon (Essonne), représentant des Départements de France.
Voir ou revoir la table ronde
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés