Avec une remise en cause du travail et de l’effort en hausse, l’association des DRH des grandes collectivités, dont Mathilde Icard est la présidente, interroge le rapport à l’engagement des agents en place et de ceux qui pourraient rejoindre la FPT.
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Le « Quiet Quitting » (le travail sans excès de zèle) et la « Great Resignation » (la grande démission) sont-ils des phénomènes que vous observez ?
Aujourd’hui, cela n’est pas observé, il n’y a aucun indicateur qui le prouve. Attention à ne pas suralimenter le discours sur la perte d’attractivité de la FPT, qu’il n’y ait pas de prophétie autoréalisatrice ! Soyons dans une logique de riposte par rapport à tout cela. Il est certain que le rapport à l’engagement évolue. Même si chacun a sa propre notion du sujet. Ce constat n’est pas nouveau. Il renvoie à la question de la motivation de service public et de l’engagement réciproque attendu : le système est hiérarchisé avec les élus et les rémunérations pèsent dans la balance. Faut-il être engagé pour travailler dans la fonction publique ...
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Mathilde Icard : « Ne suralimentons pas le discours sur la perte d’attractivité de la FPT »
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