Lundi 13 dĂ©cembre, la justice administrative a rejetĂ© l’appel de la ville de Paris concernant deux mesures de sa dĂ©libĂ©ration sur les 1 607 heures, adoptĂ©e par sa majoritĂ© en juillet dernier.
Dans sa dĂ©cision, le juge des rĂ©fĂ©rĂ©s de la cour administrative d’appel de Paris n’a pas voulu que la capitale instaure des mesures transitoires tout au long du premier semestre 2022. Ni qu’elle mette en place une « pĂ©nibilitĂ© spĂ©cifique » liĂ©e au fait mĂŞme de travailler dans la capitale (« sursollicitation » du territoire et niveaux importants de bruit et de pollution atmosphĂ©rique), synonyme de trois jours de RTT supplĂ©mentaires.
La cour d’appel rejoint ainsi l’ordonnance prise le 25 octobre par le tribunal administratif Ă la demande du prĂ©fet de rĂ©gion, estimant, comme ce dernier, « qu’il existe un doute suffisamment sĂ©rieux sur la lĂ©galitĂ© des dispositions en cause pour qu’elles n’entrent pas en vigueur tant que l’affaire n’a pas Ă©tĂ© jugĂ©e au fond ». Une prochaine Ă©tape qui doit intervenir d’ici la fin du premier trimestre 2022.
« Ligne dangereuse qui n’est pas rĂ©publicaine »
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