En déposant leurs textes le 28 août, profitant d’une « niche parlementaire » – journée pendant laquelle un groupe d’opposition peut proposer des textes – Aurélien Pradié (Lot-LR) et Valérie Boyer (Bouches-du-Rhône – LR), ont pris de court le gouvernement, qui s’apprêtait à lancer le Grenelle le 3 septembre. Le Premier ministre, Édouard Philippe, avait annoncé ce jour-là, à Matignon, dix mesures d’urgence. D’autres devraient être formulées à l’issue de ce temps de concertation réunissant les services de l’Etat et l’ensemble des acteurs locaux en vue de renforcer la lutte contre les violences faites aux femmes.
Pris de vitesse sur ce sujet prioritaire, le gouvernement a tout de même engagé la procédure accélérée sur ces deux textes, décidant de se ranger derrière l’urgence à agir ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité, Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours
J’en profiteThèmes abordés