« Les collectivités ont un véritable rôle à jouer. Ce Grenelle contre les violences conjugales peut nous permettre d’approfondir ce qui existe déjà et voir ce que l’on peut améliorer », déclare Alexandre Touzet, vice-président du conseil départemental de l’Essonne, délégué à la prévention de la délinquance, à la sécurité et à l’égalité femmes-hommes.
Mardi 3 septembre, lors de l’ouverture du Grenelle à Matignon, il représentait l’Assemblée des départements de France. François Baroin, président de l’Association des maires de France, était également présent. « La place des communes et des maires sur ce sujet est au premier rang. Il est donc normal que l’on réponde à la sollicitation de l’Etat pour le lancement de ce Grenelle », explique-t-il.
De quoi satisfaire l’appel du Premier ministre qui, dans discours d’ouverture, a appelé l’expertise des associations, des élus locaux et des professionnels de terrain pour que « ce Grenelle puisse radicalement changer les choses ».
Jusqu’au 25 novembre, des groupes de travail thématique composés d’experts et de victimes doivent être organisés pour proposer des solutions concrètes et adaptées au terrain. « Au niveau des départements il existe déjà ...
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