Un exercice toujours en voie d’appropriation
Les autorités de contrôle (Cour des comptes et chambres régionales, inspections) font régulièrement le constat que la programmation des achats est étrangement défaillante. Ainsi, pour l’État, il a été relevé en 2015 que « les marchés de prestations de conseil ne font pas toujours l’objet d’une programmation mais sont conclus au fur et à mesure de l’apparition du besoin, sans hiérarchisation des priorités. Ce défaut de programmation se reflète dans l’absence de budgétisation au premier euro des crédits. En effet, les enveloppes correspondant aux dépenses de conseil sont définies de façon globale au stade de la programmation budgétaire et servent généralement de variables d’ajustement au titre ...
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