« Impossible ». Dans un entretien au Journal du dimanche, le ministre de l’Intérieur exclut sans ambigüité de transmettre aux maires les noms des personnes faisant l’objet d’une fiche « S » résidant sur le territoire communal.
Une fin de non recevoir pour les élus de droite qui, depuis les attentats du 13 novembre, n’ont pas cessé de réclamer l’accès à ce fichier élaboré par les services de renseignement.
Les fichés S (pour sûreté de l’Etat) « sont surveillés et non judiciarisés, ce qui indique que leur dangerosité n’est pas avérée », et « la communication d’une fiche S est impossible » pour des raisons juridiques, souligne-t-il. « Cette ...
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