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Petite enfance

Pour la Cour des comptes, l’accueil de la petite enfance souffre d’un manque de coordination des collectivités

Publié le 28/11/2013 • Par Michèle Foin Virginie Fauvel • dans : A la une, Actu expert santé social, France

Image Dossier métiers de la petite enfance
Getty images
Le 28 novembre 2013, la Cour des comptes a rendu public son rapport sur l’accueil des enfants de moins de 3 ans. Si les efforts financiers ont permis d’offrir un mode d’accueil à un enfant sur deux, des progrès restent à faire pour réduire les disparités sociales et territoriales, coordonner les multiples acteurs et rationaliser l’organisation de l’accueil collectif.

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Le 28 novembre, la Cour des comptes prĂ©sentait son rapport relatif Ă  l’accueil des enfants de moins de trois ans, fruit d’une vaste enquĂŞte conduite auprès de 138 organismes nationaux et locaux dont 75 communes et 21 intercommunalitĂ©s. Tout en reconnaissant le dynamisme dont la France a fait preuve ces dix dernières annĂ©es pour dĂ©velopper l’offre d’accueil du jeune enfant, la plaçant bien au dessus de ses voisins europĂ©ens, la Cour estime que des progrès restent Ă  faire pour que les deniers publics soient mieux utilisĂ©s. En effet, entre 2006 et 2011, les dĂ©penses publiques consacrĂ©es aux modes d’accueil formels ont augmentĂ© de 28,2%, pour une augmentation du nombre de places de seulement 11,7%, souligne le rapport (lire la carte ci-dessus).

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Pour la Cour des comptes, l’accueil de la petite enfance souffre d’un manque de coordination des collectivités

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Cause commune

29/11/2013 08h50

Bonjour,

Je me souviens d’un Ă©change en dĂ©cembre 2012 Ă  la prfecture de Nantes avec la Ministre, Mme Bertinotti et des reprĂ©sentants de communes et du monde associatif de la petite enfance.
S’agissant des communes, dont la mienne, nous rĂ©pondons Ă  80 % des besoins (selon l’analyse de la CAF). Nous avons Ă©tĂ© accompagnĂ© pendant de nombreuses annĂ©es au dĂ©veloppement de l’offre par la CAF. La politique de volontariste de la commune a coutĂ© très cher et aujourd’hui, « les bons Ă©lèves » comprennent qu’il faille repenser l’accueil de la petite enfance sur le territoire national mais que les communes qui ont des coĂ»ts fixent tres Ă©levĂ©s, qui sont obligĂ©es de fournir les repas Ă  l’ensemble des familles et bientĂ´t les couches s’interrogent. Une famille dĂ©favorisĂ©e va payer aux alentours de 0, 20 € de l’heure une prestation sans aucune implication personnelle (repas, produits d’hygiène, couches et l’encadrement professionnel) alors que le coĂ»t du service est aux alentours de 9, 00 €. La tarification est un Ă©lĂ©ment majeur d’accès aux services publiques, l’Ă©quitĂ© doit ĂŞtre prĂ©servĂ©e mais s’agissant de la gestion de l’après-naissance d’un enfant, il semble fondamental de responsabiliser les parents Ă  minima. Une sociĂ©tĂ© dont les fondamentauax sont l’intĂ©rĂŞte gĂ©nĂ©ral qui offre tout Ă  ces usagers se trompe de direction. La politique nationale de la petite enfance doit-elle tendre vers l’assistanat ?Pour conclure, les services Ă  la population dans les collectivitĂ©s accueillent souvent leurs premiers usagers avec les parents de jeunes enfants. Il est consternant pour le professionnels de constater que la sociĂ©tĂ© Ă  son reflet dans les crèches et multi-accueil. Les parents demandent (pour ne pas Ă©crire exigent) le plus souvent des spĂ©cificitĂ©s par rapport Ă  leur enfant.
La question plus globale Ă  se poser est la cohĂ©sion sociale, la dĂ©fense de l’intĂ©rĂŞt gĂ©nĂ©ral. Des Ă©tats gĂ©nĂ©raux de la petite enfance sur le plan rĂ©gional (clin d’oeil Ă  Mme Bertinotti) avec l’ensemble des acteurs (Ă©lus, associations mais surtout les professionnels qui rendent le service) serait une nĂ©cessitĂ©.

Cordialement

Kuntz Joëlle

30/11/2013 11h20

Il serait peut-ĂŞtre utile de complĂ©ter votre article en prĂ©cisant que la Cnaf impose aux collectivitĂ©s l’accueil des enfants dont les parents ne travaillent pas. Loin d’ĂŞtre contre l’accueil des enfants de ces familles, j’ai moi-mĂŞme bĂ©nĂ©ficiĂ© pour mes enfants des haltes garderies, mais il s’agit ici de l’accueil rĂ©gulier et non de l’accueil occasionnel. En effet depuis la PSU (Prestation de service unique) les « crèches sont devenues des multi accueils, et donc offrent dorĂ©navant deux modes d’accueil : accueil rĂ©gulier (contrat Ă  l’appui) et accueil occasionnel (type halte garderie).Suite Ă  un contrĂ´le de la CAF, le rapport a relevĂ©, je cite: « Dans votre règlement intĂ©rieur, vous ne devez pas indiquer que l’accueil rĂ©gulier est rĂ©servĂ© aux parents qui ont une activitĂ© (travail, formation, scolaritĂ©) ». Il me semblait pourtant que les structures d’accueil des jeunes enfants Ă©taient un moyen (très recherchĂ©, car attractif pour les tarifs)pour les familles de pouvoir confier leur enfant pendant leur activitĂ©. L’accueil occasionnel, par contre (qui s’est trouvĂ© extrèmement dĂ©veloppĂ© avec le système du multi acceuil )permet aux mamans de rĂ©server du temps pour elles, pour souffler, et en mĂŞme temps de sociabiliser les très jeunes enfants. Les familles ne sont pas averties de cette politique Ă©manant de la CNAF, qui me semble paradoxale.

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