Obligatoires et gratuits, les services publics communaux (école, voirie, etc.) ne posent pas de problèmes. Mais, de plus en plus, la gratuité totale ou partielle est appliquée aux services publics industriels et commerciaux communaux (eau potable, transports, déchets…), traditionnellement facultatifs et payants. Selon le Groupement des autorités responsables de transport (Gart), « la gratuité , pertinente dans certains réseaux à recettes tarifaires très faibles, voire inférieures au coût de la perception, ne peut être généralisable ».
Le Gart préfère que soit menée « une réflexion tarifaire pour rééquilibrer les différentes sources de financement des transports urbains, assurés en 2012 par les employeurs à 48 %, les collectivités locales à 31 %, les usagers à 19 % et l’Etat à 2 ...
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