Cette baisse concerne les dépenses d’investissements directs mais aussi les subventions d’équipements versées. « Les conseils généraux ont été amenés à réduire significativement leurs dépenses d’investissements, qui constituent désormais la variable d’ajustement », notent les auteurs.
Ce repli s’est élevé à 18 % entre 2009 et 2012. « L’analyse des budgets primitifs de 2013 semble confirmer la prudence des départements dont les volumes d’investissement devraient continuer de décroître », poursuivent-ils.
La baisse importante des droits de mutation à titre onéreux, qui s’établit à – 28 % au premier trimestre 2013, devrait conforter et aggraver la trajectoire baissière de l’épargne brute.
Les dépenses des départements au titre du revenu de solidarité active passeraient de 5,4 ...
Article réservé aux abonnés
Club Finances
Cet article est en relation avec le dossier
Thèmes abordés