« Avec les billets de trésorerie nous sommes sur des marges proches de zéro et même parfois sur des marges négatives. Alors que les lignes de trésorerie, même si elles donnent plus de souplesse, tournent autour de 2 % », souligne Harold Matysen, directeur général adjoint Finances de Boulogne-Billancourt.
Le billet de trésorerie constitue, en effet, un outil qui permet d’obtenir des conditions de financement infra-annuelles très intéressantes. D’autant plus intéressantes qu’étant en phase de désendettement depuis 2009 et bien notée par Standard & Poor’s, la ville est perçue comme extrêmement solvable par les investisseurs.
Pour identifier le montant du besoin, sa durée, et établir des prévisions régulières de trésorerie, la direction des finances élabore un plan de ...
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