De droite comme de gauche, les gouvernements successifs n’entendent pas lever le pied sur la vidéosurveillance. Au contraire, la vague d’attentats terroristes à partir de 2015 est venue légitimer les arguments de ses partisans.
Une feuille de route, laissée par l’ancien ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau sur le bureau de son successeur Laurent Nuñez, l’invite d’ailleurs à ouvrir le débat sur la reconnaissance faciale en matière de vidéosurveillance algorithmique.
Cette ligne rouge pourrait-elle bientôt céder ? Alors que la sécurité est l’une des premières priorités des Français, le débat est ouvert, et implique plus que jamais les élus locaux à l’approche du prochain scrutin municipal.
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