Une certaine confusion brouille l’image du métier de conseiller conjugal et familial (CCF). « Nous ne sommes guère visibles, regrette Bénédicte Maufrais, vice-présidente de l’Association nationale des conseillers conjugaux et familiaux . Certainement parce que nous sommes peu nombreux, environ 2 000 (dont à peine 3 % d’hommes) et que nous exerçons selon des modes très variés – en libéral, en milieu associatif, à l’hôpital (dans les centres d’IVG) et dans les collectivités, notamment au sein des centres de planification et d’éducation familiale . Enfin, on peut nous confondre avec les médiateurs familiaux. »
Pour donner davantage de visibilité à la profession, accessible par une formation et non par un diplôme, l’Anccef travaille sur un projet de certification professionnelle.
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés Club Prévention-Sécurité VOUS N'êTES PAS ABONNé ? Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours Références Cadre d'emplois Catégories Diplôme requis
Cet article est en relation avec le dossier