Stefan Körber - Fotolia.com
Nantes a accueilli du 9 au 13 septembre le congrès mondial des toits et murs végétalisés, organisé par l’Adivet, association française des toitures et murs végétalisés. La marge de progression de ce type d’aménagements est très grande en France, et de nouvelles formes apparaissent, comme les murs d’algues.
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Quand la nature se lance à l’assaut de la ville
Ce congrès était organisé en collaboration avec l’association mondiale des toits et murs végétalisés, la WGIN (world green infrastructure network). Des professionnels de renom comme Emilio Ambasz – architecte d’origine argentine considéré comme le père de l’architecture verte -, Patrick Blanc – botaniste à l’origine de la conception des premiers murs végétalisés en France -, Michel Pena – concepteur paysagiste créateur entre autres du jardin de l’Atlantique sur la dalle de la gare Montparnasse – ont côtoyé chercheurs, techniciens et élus pour échanger autour des murs et toitures végétalisées dans l’aménagement urbain.
Les discussions n’ont pas seulement porté sur les aspects techniques et les effets bénéfiques réels de ces structures sur le plan thermique, acoustique et écologique, mais également sur les moyens dont disposent les politiques pour inciter à leur construction.
Peut mieux faire – Et c’est là la principale pierre d’achoppement en France, mais ...