Le service public de la petite enfance serait-il finalement une coquille vide et sans moyens ? C’est ce que commencent à craindre les élus des communes, autorités organisatrices de l’accueil de la petite enfance depuis le 1er janvier 2025.
« Il y a vraiment une forme de légèreté de la part de l’Etat qui confie aux communes des missions en grande pompe, et prévoit des mécanismes de compensation hasardeux, fondés sur rien », se désespère Paul Simondon, adjoint à la maire de Paris, en charge des finances, du budget, de la finance verte et des affaires funéraires, et représentant l’Association des maires de France (AMF).
- Service public de la petite enfance : un lancement dans le brouillard
Comme les autres élus locaux membres du Comité des finances locales (CFL), il a été effaré, lors de la ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Club Finances, Club Santé Social
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Santé Social pendant 15 jours
J’en profiteDomaines juridiques