Cela pourrait sonner comme une bonne nouvelle. Pour la première fois depuis la création de l’infraction pour outrage sexiste et sexuel, en 2018, les chiffres enregistrés par les commissariats de police et de gendarmerie sont en baisse (- 5 %). Une inversion de tendance notable après une progression moyenne de 67 % par an.
Mais, hélas, cette manifestation des violences que subissent les femmes (victimes dans 9 cas sur 10) dans l’espace public « ne donnent que très rarement lieu à un signalement auprès des forces de sécurité », selon le rapport du service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI). Plus précisément, l’enquête « Cadre de vie et sécurité » réalisée conjointement par l’Insee et le SSMSI révélait que, sur la période ...
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