« Nous ferons de la santé mentale la grande cause nationale de l’année 2025. » Ces mots, de l’ex-Premier ministre Michel Barnier devant l’Assemblée nationale le 1er octobre dernier, traduisent l’engagement sans précédent d’un chef de gouvernement sur ce thème. Et pour cause : un Français sur cinq est sujet à des problèmes de santé mentale et les maladies psychiques constituent le premier poste de dépenses de l’Assurance maladie.
François Bayrou, son successeur, ne s’y est pas trompé en confirmant cette priorité. Il faut dire que la France a déjà pris du retard, ayant attendu 2018 pour se doter d’une feuille de route « santé mentale et psychiatrie ». « Les grands axes de la stratégie nationale sont la prévention à travers notamment la “déstigmatisation” des malades, le soin avec une entrée ...
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Comment gérer les troubles mentaux dans les rues
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