Si pour beaucoup, 1983 résonne comme la victoire du tennisman Yannick Noah à Roland Garros, pour d’autres, cette année correspond surtout à l’inscription du travail d’intérêt général (TIG) dans le droit pénal français. Porté par Robert Badinter, ce dispositif sanctionne toujours, quarante ans après, les auteurs de certaines contraventions de 5e classe et de délits punissables d’emprisonnement.
Lors de la cérémonie anniversaire organisée ce jeudi 1er juin à la gare Saint-Lazare (Paris), le garde des Sceaux, Éric Dupont-Moretti, a salué une peine qui « tisse du lien social entre les auteurs d’infractions et la collectivité » mais a dit regretter qu’elle reste encore « insuffisamment utilisée ». La loi du 23 mars 2019 a pourtant permis de porter le quantum à 400 h ou encore de créer l’Agence ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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