Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement
Club finances

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

icon Club finances

Défaisance : si l’idée finissait par s’imposer ?

Publié le 27/06/2011 • Par La Rédaction • dans : Billets finances

La création d’une structure de défaisance pour gérer les emprunts toxiques est « une évidence », selon certains directeurs généraux.

Ma Gazette

Sélectionnez ce thème et créez votre newsletter personnalisée

«Le jour venu, l’idée d’une agence assumant les risques liés aux produits structurés les plus toxiques s’imposera comme une évidence », assure Cédric Grail, directeur des finances de Saint-Etienne. Son raisonnement est le suivant : au terme des contentieux engagés par des collectivités concernées, les juges donneront suivant les cas raison aux banques… ou aux plaignants. Compte tenu du nombre de procès, qui s’annonce déterminant, les banques vont se retrouver face à des pertes colossales, qu’elles ne pourront assumer seules.

Sortir de situations bloquées

« Le gouvernement minimise à dessein l’ampleur du problème, en estimant à 7 milliards d’euros l’encours concerné, alors qu’il s’élève plutôt à 12 ou 13 milliards », estime Cédric Grail. Il considère que l’Etat a commis une erreur d’appréciation en adoptant une stratégie dilatoire, par le biais de la médiation « Gissler ». « Le gouvernement, conscient du fait qu’il serait tenu, in fine, de payer au moins une partie de l’addition, a préféré gagner du temps. Mais, pour ne prendre qu’un exemple, le “mark to market” de Saint-Etienne (coût de la dette aux conditions de marché du jour), s’élevait à 45 millions d’euros en 2008. Il est de 125 millions aujourd’hui », résume- t-il. Selon lui, la nécessité d’une structure de défaisance, quelle qu’en soit la forme, provient de l’immensité des pertes potentielles causées par ces produits : « Quand le coût d’une sécurisation d’un encours se chiffre à 20 % du notionnel, il existe des possibilités de renégocier. Mais, lorsque le “mark to market” est égal à 100 % du capital restant dû, que le coût potentiel d’un emprunt de 20 millions d’euros s’élève à autant, la situation est bloquée. » Le directeur financier stéphanois a bâti un schéma définissant cette future agence, baptisée « DTCT » (dettes toxiques des collectivités territoriales). Les collectivités concernées prendraient 10 % des coûts à leur charge, les banques s’acquittant du reste, grâce à une taxe mise en place pour l’occasion, aux côtés de l’Etat, par le biais d’un compte d’affectation spéciale du Trésor.

Thèmes abordés

Réagir à cet article
shadow
Prochain Webinaire

Défi démographique : la fonction publique face au vieillissement des agents

de La Gazette des Communes avec la MNT

--
jours
--
heures
--
minutes
marche online

Aujourd'hui sur le Club finances

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Défaisance : si l’idée finissait par s’imposer ?

Votre e-mail ne sera pas publié

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Club finances

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement