L’Assemblée nationale s’est prononcée, jeudi 26 novembre, lors de l’examen d’une proposition de loi visant à renforcer une « justice de proximité », en faveur d’un recours accru aux peines alternatives et notamment au travail d’intérêt général (TIG). Deux ans après la création de l’agence nationale du travail d’intérêt général et de l’insertion professionnelle des personnes placées sous-main de justice, où en est-on ?
Nous nous sommes fixés pour objectif 30 000 postes de travail d’intérêt général (TIG) en 2022. En mars 2020, avant le confinement, nous étions à 21 007 postes, soit 3 000 de plus qu’à la fin 2018. Les deux confinements ont marqué un recul, du fait notamment des difficultés rencontrées par le tissu associatif. Nous sommes ...
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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