Le maire et l’association les Amis de l’école avaient saisi le tribunal en référé le 21 juin, après s’être mobilisées depuis janvier 2011 contre la suppression d’un poste d’enseignant à l’école, qui accueillait cette année 24 élèves de la maternelle au CM2. « Si cette classe est fermée, à bref délai la seconde le sera aussi », estime le maire, Pierre Bourgeois.
Doute sur la légalité – Considérant l’urgence de la situation, le tribunal a suspendu la fermeture « jusqu’à ce qu’il soit statué sur le fond ». Parmi les arguments : le fait qu’une partie des élèves devra, en cas de fermeture, « être scolarisée à Chatelblanc, commune distante d’environ quinze kilomètres » et que cela « entraîne pour la commune, située en zone de montagne, où les conditions de circulation et de transport sont ...
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