Le rapport Lecocq sur la santé au travail dans la fonction publique, remis le 28 octobre au Premier ministre, « est insuffisant sur certains aspects », regrette Emmanuel Gros, vice-président du syndicat national des directeurs généraux des collectivités territoriales (SNDGCT).
S’il approuve l’idée de mutualisation des services de santé au travail du public et du privé – l’une des principales préconisations du rapport –, il estime qu’il « faut aller au bout de la démarche en donnant au médecin du secteur public le même pouvoir de décision qu’un médecin du privé, en particulier la capacité de déclarer un agent apte ou inapte ». Conséquence : le comité médical et la commission de réforme n’auraient plus leur mot à dire sur ce point.
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Gazette des Communes, Club Santé Social