« C’est une première », assurent tous les signataires – l’Etat, la Gendarmerie, la commune et son garde-champêtre – de la convention signée le 11 juillet à Cessenon-sur-Orb en Hérault. « Cette convention de coordination encadre juridiquement les relations, nous définirons ensemble des objectifs de travail. Elle scelle la reconnaissance du travail du garde-champêtre, assure le sous-préfet de l’Hérault Christian Pouget. La Gendarmerie a vérifié en amont qu’il n’y avait pas d’obstacle particulier. Les gardes champêtres sont clairement mentionnés dans le Code de la sécurité intérieure. »
Pour rédiger cette convention inédite, ses acteurs sont partis du modèle des conventions de coordinations avec la police municipale. En oubliant la condition de taille (5 policiers municipaux ...
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