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Police rurale

Les gardes champêtres en mal de reconnaissance

Publié le 13/02/2018 • Par Céline Groslambert • dans : A la Une RH, Actu experts prévention sécurité, Actualité Club Techni.Cités, France, Toute l'actu RH

garde-champetre
AdobeStock
Alors que la notion de police de proximité revient en état de grâce, les gardes champêtres, dotés de prérogatives spécifiques ont une carte à jouer pour la survie de leur profession.

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Leur corps a été officiellement instauré en 1791, et leurs origines remontent au Moyen-Age : de quoi alimenter le « musée du Garde champêtre » qui a ouvert ses portes le 9 décembre dernier à Bargemon, dans le Var. L’initiative, portée à bout de bras par le propre garde champêtre de cette commune , Hédi Zahaf, est destinée à rendre hommage à cette profession ancestrale mais aujourd’hui menacée. Car s’ils étaient plus de 20 000 dans les années 1960, on en dénombre aujourd’hui un peu moins de 1 000, selon Jacques Armesto, président de la Fédération nationale des gardes champêtres (FNGC).

Savoir-faire et technicité

« Nous sommes une institution oubliée », se désole ce passionné, qui officie depuis trente-trois ans à La Salvetat-sur-Agout (26 agents, 1 150 hab.), dans l’Hérault. Au fil des départs à la retraite, les postes de gardes champêtres disparaissent peu à peu, parfois remplacés par ceux de policiers municipaux.

Les premiers disposent pourtant d’une foule de prérogatives qui leur sont spécifiques, adaptées à l’exercice de l’autorité en milieu rural. « A notre actif, nous avons près de 150 domaines de compétences », indique Jacques Armesto. Police de la chasse, de la pêche, de l’eau, des parcs nationaux, des réserves naturelles, des déchets, de la voirie… Sans compter l’urbanisme. Encore récemment, un décret (n° 2017-1523 du 3 novembre 2017) a renforcé leurs compétences en matière de sécurité routière, élargissant le champ des infractions qu’ils sont désormais habilités à constater.

« Nous revendiquons notre savoir-faire et notre technicité » , poursuit le président de la FNGC – précisant qu’il s’agit de gérer à la fois un territoire et une population. Il ajoute : « Notre travail, c’est de la police de proximité. On est là pour dissuader, prévenir, et en dernier lieu, évidemment, réprimer. » Les qualités relationnelles sont particulièrement utiles pour intervenir en tant que médiateurs dans les fréquentes querelles de voisinage . « Nous sommes un peu les garants du bien-vivre ensemble », sourit-il.

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