Nombreux sont les points de dĂ©saccords entre les parlementaires sur l’avenir de la fonction publique territoriale et ses agents. Jusque-lĂ plutĂ´t discrets, plusieurs d’entre eux comptent bien dĂ©fendre leurs points de vue ces prochaines semaines, dans le cadre de la procĂ©dure accĂ©lĂ©rĂ©e sur le projet de loi de transformation de la fonction publique. Il s’agit des dĂ©putĂ©s Ugo Bernalicis (France Insoumise, Nord), Christine Pires-Beaune (PS, du Puy-de-DĂ´me), Robin Reda (LR, Essonne), Guillaume Gouffier Cha (LREM, Val-de-Marne) et la sĂ©natrice Françoise Gatel (Union centriste) d’Ille-et-Vilaine.
Lors de la soirĂ©e de dĂ©bat organisĂ©e autour du texte par l’Association nationale des DRH de grandes collectivitĂ©s (ANDRHGCT) le 4 avril, tous se sont accordĂ©s Ă dire que le projet gouvernemental ne tend pas, pour l’heure, vers une « grande loi ».
La plupart entendent élever la voix pour porter les reproches et idées que n’ont pas réussi à faire passer les syndicats au Conseil commun de la fonction publique et au Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.
Évolutions souhaitées
Pour Christine Pires-Beaune, « ce n’est pas un texte qui redonne du sens à l’action publique ». Bien loin de là , il serait source de démotivation puisqu’il « donne en réalité les clés [notamment avec
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