La politique de prévention de la délinquance n’est pas enterrée ! A l’heure où la prévention de la radicalisation occupe très largement le devant de la scène, c’est ce qu’il ressort du bilan à mi-parcours de la stratégie nationale 2013-2017, dressée par le rapport annuel 2015 du SG-CIPD remis au Parlement, et mis en ligne le 21 octobre.
Dans cette 9ème édition, qui présente le détail de l’emploi des crédits attribués aux actions de prévention mais aussi la mise en œuvre des dispositifs de prévention de la radicalisation, le SG-CIPD s’attache en particulier à relever le degré d’implication des collectivités territoriales, et comment se traduit la déclinaison locale de cette politique publique. « L’enjeu réside dans la mise en œuvre des priorités de la stratégie nationale par les acteurs locaux au sein des CLSPD », indique-t-il.
Une nouvelle méthode d’investigation
D’emblée, rappelle le rapport, les trois « chantiers nationaux », à savoir la prévention en direction des jeunes exposés à la délinquance, la prévention des violences faites aux femmes et intrafamiliales, l’aide aux victimes, et enfin l’amélioration de la tranquillité publique, ont vocation à se décliner sur tout le ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
VOUS N'êTES PAS ABONNé ?
Testez notre Offre Découverte Club Prévention-Sécurité pendant 15 jours
J’en profiteRéférences
- Politique de prévention, de la délinquance et de la radicalisation, rapport au parlement 2015
Cet article est en relation avec les dossiers
- Délinquance: mieux la chiffrer pour mieux la combattre
- Prévention de la délinquance : les professionnels face à la stratégie nationale
- Prévention de la délinquance : un nouveau cadre pour l’échange d’informations
Thèmes abordés