« Mode de traitement du conflit urbain » comme n’importe quel autre, la médiation sociale se pratique aussi bien sur un espace public qu’un espace privé (conflits de voisinage, occupation de halls d’immeubles), de jour comme de nuit : « elle partage les mêmes espaces, les mêmes publics, les mêmes problématiques que les services de police, mais avec ses propres outils » définit d’emblée Jean-Yves Gérard.
Invité par le Club Prévention-Sécurité de la Gazette des Communes à éclairer l’assistance sur les enjeux et chantiers actuels du secteur, le président du « Réseau des villes correspondants de nuit et de la médiation sociale » est d’abord revenu sur la naissance de ce corps de métier, à la fin des années 90. « Il fallait, à l’époque, faire face à trois ...
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J’en profiteCet article fait partie du Compte-rendu
Prévention de la délinquance : le rôle et la place des médiateurs dans la ville
Sommaire du dossier
- « La médiation sociale est un élément du puzzle » – Raphaël Le Méhauté, secrétaire général du CIPD
- « La médiation doit sortir des politiques de subvention » – Jean-Yves Gérard, président du Réseau des villes correspondants de nuit
- « La médiation sociale favorise l’accès voire le retour aux institutions » – André Moisan, sociologue
- Les médiateurs rochelais séduisent bailleurs comme policiers
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