A l’appel des syndicats FO et CGT, et pour le troisième samedi consécutif en mars, les vingt agents de surveillance de la voie publique de Reims ont fait la grève des PV et manifesté dans la rue pour exprimer leurs revendications.
« Ce mouvement local fait suite au refus de la ville d’accéder à des demandes de passer 1ère classe », explique une syndicaliste de Force ouvrière. Elle précise que « ces agents sont classés adjoints administratifs de 2è classe, sans possibilité d’évolution. Ils arrivent au 11è et dernier échelon au bout d’une vingtaine d’années de carrière, et leur salaire reste plafonné à 1 400 euros par mois. »
Les ASVP soulignent aussi la pénibilité de leur travail, due autant aux intempéries auxquelles ils sont exposés qu’à l’incivilité croissante des automobilistes qu’ils ...
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