L’Insee relève, notamment, que le besoin de financement des Apul s’est encore réduit à 0,9 milliard d’euros après 1,4 milliard en 2010. Surtout, il est en baisse continue et sensible depuis 2008 (9,4 milliards).
Dans le même temps, le besoin de financement de l’Etat et des administrations de sécurité sociale se creusait nettement, même s’il se redresse en 2011.
Les recettes des Apul restent globalement plus dynamiques (+ 2,5 %) que les dépenses (+ 2,3 %). L’Insee note également le ralentissement des dépenses de fonctionnement (en fait de leur croissance).
« Le discours de certains sur des collectivités locales dépensières, au prix d’un accroissement sans mesure de la pression fiscale, apparaît donc démenti par les faits », analyse Christophe Michelet.
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