Les Guadeloupéens n’ont pas la mémoire courte : le 23 août dernier, le ministre de l’Intérieur démissionnaire Bruno Retailleau avait bouclé une tournée de trois jours dans les Antilles par une visite éclair de l’île papillon, pour annoncer de nouvelles mesures de lutte contre le narcotrafic.
Au menu : renforcement humain et matériel des filières d’investigation, installation d’un laboratoire d’analyse balistique, arrivée massive de gendarmes ou encore audit du Grand port maritime de Guadeloupe, particulièrement perméable aux livraisons d’armes et de produits stupéfiants.
Si ces mesures semblent aller dans le bon sens, les élus locaux guadeloupéens ne les ont pas attendues pour s’impliquer. Animation du partenariat local de sécurité, mobilisation de policiers municipaux ou encore prévention ...
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