Pourquoi est-il important de « revivifier » le Conseil national de sécurité routière (CNSR), dont vous êtes à présent le nouveau président ?
Le CNSR ne s’était pas réuni depuis 2008. Et donc, entre l’usager de la route, le policier et le gendarme, il n’y avait pas de structure qui faisait « caisse de résonance » ; pas d’organisme qui réunissait tout ce que notre pays compte de spécialistes, d’associations et de bénévoles qui agissent, ainsi que d’expériences de terrain. C’est à présent chose faite.
Le « Parlement de la sécurité routière » est à présent en marche. Quatre premières commissions sont déjà mises en place sur des sujets essentiels : les jeunes et l’éducation routière, la vitesse, l’alcool et les drogues, les nouvelles technologies et enfin, les infrastructures et le permis de ...
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